tux-newsAvec l'arrivée des smartphones tactiles1 notre usage d'Internet en mobilité a considérablement évolué. C'est essentiellement l'arrivée des OS évolués avec les "markets d'apps" qui ont changés la donne. C'est d'abord Apple qui a ouvert la voie avec son iPhone, puis Google avec Android et maintenant Microsoft avec Windows Phone 7 et bientôt Windows Phone 8. Puis, nous avons vu arriver la déferlante tablette, ce matériel hybride à la croisée des chemins entre le smartphone et l'ordinateur portable. Son arrivée fut d'abord accompagnée d'une certaine circonspection de la sphère Hi-Tech qui ne savait pas où positionner ce device et s'il trouverait une place dans les usages numériques quotidiens. Mais, le succès des tablettes est aujourd'hui indéniable. Là encore, c'est Apple qui a ouvert la danse avec l'iPad, suivi plus tard (un peu trop ?) par Android et maintenant par Microsoft et ses fameuses tablettes Surface.
Microsoft a d'ailleurs frappé un grand coup en entamant la convergence des plateformes mobiles en premier. Cette convergence justement est largement saluée par le monde du tech qui voit là un vrai avantage par rapport à la concurrence.

Cependant, je suis moins entousiaste sur cette "nouveauté". Alors, soyons clair, j'accueille avec un vrai plaisir le nouvel écosystème de Microsoft car il reste cohérent et l'utilisateur final n'en sera que plus satisfait. Il est indéniable que travailler dans un environnement uniforme quelque soit les devices est un avantage non négligeable. Mais je regrette que cette convergence n'ai pas eu lieue à la fois sur l'OS et sur le matériel. On avait pourtant vu des prémice de ce qui me semble être la solution de convergence. Avec, coté matériel le Motorola Atrix ou le ASUS Padfone. Coté software, c'est Ubuntu qui développe un concept prometteur avec Ubuntu for Android.
L'idée de tout cela est simple: Quelle est la plateforme mobile que l'on a le plus souvent avec soit ? - Le smartphone. Donc, si l'on considère cet état de fait, il est tout naturel de vouloir que le smartphone reste au coeur de notre environnement technologique. Et si notre smartphone était aussi notre tablette et notre ordinateur de bureau ? Jusqu'à présent nous avons déployé une énergie considérable pour effectuer une synchronisation de nos données pour qu'elles soient accessibles sur tout nos devices. Mais il serait plus simple de concentrer ces données dans un endroit unique2, un appareil polymorphe capable de s'adapter à toutes les situations.
Alors attention ! Je ne parle pas d'un téléphone basé sur des technologies qui n'existent pas encore ou alors seulement dans nos rêves les plus fous. Non ! Il suffirait de mixer les idées et technologies mises en place dans les solutions actuelles. Donc, le téléphone qui s'insère dans un écran 10 pouces et en fait une tablette; le téléphone qui se branche à un socle relié à un grand écran, un clavier et une souris. Force est de constater que la technologie est là, que les smartphones sont de plus en plus puissants, au point de répondre désormais aux usages courant de l'informatique grand public et que cette convergence pourrait (aurait déjà pu) avoir lieue.

Finalement, je ne perds pas espoir, je pense réellement que c'est le futur de nos technologies mobiles, mais c'est pour cela que la solution de Microsoft bien qu'encouragente ne me satisfait pas car on a toujours un OS par appareil et donc autant de points de divergence de l'information.

1 : Je mets volontairement de coté les smartphones sous windows mobile 5 et 6.
2 : Bien évidemment sauvegardé comme il se doit.

tux-ubuntuAu boulot comme à la maison j'utilise Ubuntu, mais comme la nouvelle interface, unity ne me plait guère j'ai switché sur gnome-shell. J'utilise assez peu d'applications KDE mais il est vrai que pour celles que j'utilise je n'ai pas trouvé d'équivalent sous gnome.
C'est le cas de krusader, un gestionnaire de fichier dans lignée des mc et autres norton commander. Il est vraiment très complet, avec plein d'outils pour faire à peu près toutes les opérations sur les fichiers.
Cependant, depuis ma migration sous Precise Pangolin, à chaque fois que krusader lance une notification (normalement accompagnée d'un son), j'ai un superbe rapport de crash. C'est en fait knotify qui ne parvient pas à jouer le son de notification.

Après plusieurs recherches sur le net, j'ai fini par trouver un workaround :
Créer ou modifier le fichier ~/.kde/share/config/knotifyrc
Puis y saisir le contenu suivant :

[Sounds]
No sound=true
Use external player=true
Volume=100

tux-newsComme vous avez pu vous en apercevoir le site est en travaux !
A l'occasion de la mise à jour de Joomla en version 2.5, nous travaillons aussi sur un nouveau visuel. Pour le moment rien n'est fini mais ça donne un coup de frais :)

Nous nous sommes enfin décidé à laisser tomber la version 1.5 de Joomla ! au profit de sa grande soeur et ce n'est pas sans mal. En effet plusieurs extensions et modules sont encore manquants mais tout cela devrait rentrer dans l'ordre rapidement.

Les gros chantiers qu'il nous reste à finaliser sont le template et le module de gestion de collection.

Bon, yapuka alors :)

tux-ubuntu.pngDepuis quelques temps, un peu avant l'arrivée d'Ubuntu 12.04, les vidéos flash ce sont mis à avoir la même maladie que les vidéos dans Ubuntu il y a plusieurs mois à savoir, tous les personnages ont la peau bleue !

Bien évidemment, ce qui avait fonctionné pour les vidéos sous totem ou vlc à l'époque ne fonctionne plus aujourd'hui.

Donc, après bien des reherches sur le net, j'ai enfin trouvé la solution et je la partage.

$ sudo mkdir /etc/adobe/
$ sudo echo -e "EnableLinuxHWVideoDecode=1\nOverrideGPUValidation=true" > /etc/adobe/mms.cfg
Et voila vos vidéos ont retrouvé une teinte normale :)

 Source : ubuntuincident.wordpress.com

tux-astro.pngAujourd'hui, j'ai reçu mon nouveau matériel d'astronomie. J'avais commandé un chercheur de type viseur tête haute et un oculaire de 8 mm avec un champ de vision apparent de 60°. J'ai donc testé tout cela ce soir. Le chercheur Quick Finder de Rigel fonctionne sur le principe des viseurs tête haute, que l'on retrouve maintenant dans certaines voitures. Les informations sont projetées sur un verre transparent (ou le pare-brise pour les voitures) ce qui permet de voir ces informations en surimpression de ce que l'on regarde. Ici ce sont deux cercles concentriques qui sont projetés. RIGEL.jpgLe principe est très simple on fixe le chercheur sur le téléscope, on met l'oculaire qui grossit le moins et on pointe un objet dans le chercheur en le plaçant au centre des deux cercles. Si le chercheur a été correctement réglé on a l'objet quasiment au centre de l'oculaire. L'utilisation de ce genre de dispositif permet d'une part de pointer très rapidement les objets visibles et d'autre part de chercher de manière efficace les objets peu lumineux. Ainsi, j'ai pu trouver sans trop de difficultés M35 qui est un amas ouvert dans la constellation des gémeaux. J'ai mis un peu plus de temps à trouver M3 un amas globulaire non loin de la constellation des chiens de chasse. Comme pour la fois précedente, je ne suis pas arrivé à vraiment distinguer les étoiles qui la composent même en périphérie. HR8.jpgMais ce fut tout de même l'occasion de tester mon oculaire de 8 mm qui, il est vrai, dispose d'un champ visuel apparent bien plus confortable que mes autres oculaires. J'ai donc pris un grand plaisir à admirer Saturne et Mars pendant de longues minutes et je dois dire que je suis assez satisfait de mes nouveaux jouets. :-)

sources :
http://www.ipac.caltech.edu/2mass/ 
http://www.arnaudom.fr/

tux-astro.pngCela faisait plusieurs mois maintenant que mon intérêt pour le ciel nocturne prenait de l'importance et ces trois derniers mois tout s'est accéléré. J'ai d'abord décidé de tâter le terrain de l'astronomie amateur avec un appareil très peu onéreux. mini_dobson.jpgJ'ai donc reçu pour la St Valentin, un "mini" téléscope dobson 76/300. 76 étant le diamètre du mirroir principal et 300 la longueur focale de ce même mirroir principal. Loin d'être suffisant pour explorer tout ce que nous offre le ciel étoilé il représente, pour 60€, un investissement très raisonable qui permet  au moins de se faire une idée précise sur la discipline et l'intérêt que l'on peut lui porter. En gros ce qui est accessible avec ce téléscope ce sont les planètes. Très brillantes et plus proche de nous que les étoiles, elle sont facilement observables. L'astre qui est le plus impressionant reste sans conteste la Lune, même à un faible grossissement on découvre ses cratères et son bel éclat. J'ai pris aussi beaucoup de plaisir avec Jupiter et Mars. Mais il ne faut pas se faire d'illusion, même si l'on grossit beaucoup, ce téléscope n'offre pas une résolution suffisante pour voir des détails. Ce que l'on voit ce sont des cercles gris et flous. C'est d'ailleurs un principe général dans l'observation, il faut oublier les superbes images que l'on trouve dans les revues et la télévision. Ces couleurs dans les nébuleuses et les galaxies ne s'obtiennent qu'après traitement d'images issues de capteurs CCD  avec plusieurs longues poses.

Dès lors il m'a semblé indispensable d'investir dans un téléscope me permettant d'obtenir des images plus nettes et de m'aventurer dans le ciel profond. skywatcher130.jpgJ'ai donc jetté mon dévolu sur un téléscope Skywatcher 130/900 de type Newton sur monture équatoriale EQ2. Pour environ 300 euros, j'ai eu le téléscope et sa monture et deux oculaires supplémentaires. L'idée première quand on choisi un téléscope c'est de collecter un maximum de lumière et c'est le diamètre qui détermine cela. Plus le diamètre est important et plus on collecte de lumière et meilleure est la résolution de l'image obtenue. Tout est donc dans le diamètre du mirroir principal. La pupille de l'oeil humain mesure environ 6 mm de diamètre. Connaissant cela on peut estimer grossièrement le gain de luminosité qu'offre un instrument par rapport à l'oeil nu en divisant le carré du diamètre du mirroir principal du téléscope par le carré du diamètre de la pupille. Mon petit dobson a un diamètre de 76 mm donc 76²/6² on a gain de luminosité de 160. Avec mon 130 mm j'obtiens un gain de 469. Mon téléscope de 130 mm est donc trois fois plus lumineux que l'ancien. Avec ces caractéristiques j'ai donc accès à des objets qui sont normalement invisibles à l'oeil nu. Biensur, si j'avais pris un instrument avec un diamètre de 200 j'obtenais un gain de 1100, mais là cétait le prix qui obscursissait tout. ;-)

C'est bien gentil tout ça mais que regarder ? Comme je l'ai dit au début, d'abord le planétaire. On désigne par ce terme les objets du système solaire. C'est à dire les planètes et leurs satellites. Ces derniers temps Saturne est observable pas trop tard. Je peux dire que ça fait un choc la première fois que l'on voit les anneaux autour de la planète !
Puis, on peut s'essayer à des objets du ciel profond. Il existe plusieurs catalogues regroupant des objets remarquables hors du système solaire. Les objets du catalogue de Messier sont certainement un bon début. Ainsi, j'ai d'abord observé, M42 alias la grande nébuleuse d'Orion. Là encore rien à voir avec l'image que j'ai mis dans le lien. On aperçoit une sorte de nuage blanc. Mais l'émotion est tout de même là. On pointe ce qui ressemble à un étoile parmis d'autres et l'on approche son oeil de l'oculaire et cette étoile devient une nébuleuse. J'ai ensuite observé M45, les pléiades. C'est un amas ouvert visible à l'oeil nu. Son observation prend tout son sens à faible grossissement car on a alors l'amas dans son ensemble et il faut bien avouer qu'il est magnifique.
Normalement le télescope est vendu avec un chercheur à point rouge. Ce type d'accessoire permet de pointer un objet facilement dans le ciel. Mais le mien ne fonctionnait pas malgré le changement de pile. J'utilise donc mon occulaire qui grossi le moins pour trouver les objets que je cherche. C'est assez long mais on y parvient sans trop de difficultés quand ils sont visibles à l'oeil nu. Lundi 09 avril, j'ai tenté de trouver d'autre objets. Avec l'aide de google sky view, j'ai repéré M53 un amas globulaire. Cette fois par contre j'ai pas mal galéré mais j'ai fini par le trouver, petit nuage blanc et rond, et avec lui l'emerveillement d'observer un objet que seul le téléscope me permet de découvrir. Même en grossissant un peu je n'ai pas vraiment réussi à voir se détacher les étoiles qui le composent. Je mets cela sur le compte de mon téléscope, mais aussi surtout sur les lumières de la ville.

Je compte bien remettre cela, mais pour m'éviter de trop galérer, je me suis acheté un chercheur. Et pour la prochaine fois je vais essayer d'observer depuis un endroit loin de la pollution lumineuse. Peut être alors verrai-je les magnifiques détails de ces objets célestes.

tux-justice.pngLe blog du cabinet d'avocats ITEANU nous apprend qu'une ordonnance en date du 24 Août 2011 rend désormais obligatoire la notification d'un faille de sécurité. Le texte l'énonce comme suit : 
"En cas de violation de données à caractère personnel le fournisseur (…) avertit sans délai la CNIL. Lorsque cette violation peut porter atteinte aux données à caractère personnel ou à la vie privée d’un abonné ou d’une autre personne physique, le fournisseur avertit également, sans délai, la personne concernée."

Ainsi, bien que les sanctions prévues soient relativement légères, cette ordonnance oblige les fournisseurs à avertir la CNIL et si besoin la ou les personnes concernées.  Ceci est un grand pas en avant tant nous étions habitués aux cachoteries des sociétés victimes d'atteinte aux données personnelles et c'est ce qu'explique Olivier ITEANU dans son article : 
"En soi, cette divulgation publique obligatoire est une mini révolution, tant on sait que les entreprises étouffent toute diffusion d’informations à ce propos, lorsque tels évènements les concernent, par peur d'une mauvaise publicité."

Alors biensûr tout ceci n'oblige pas les entreprises à investir dans des moyens de sécurisation de nos données mais cela y contribue sur certains points comme le note Me ITEANU:
"Le texte étant focalisé sur les données, et ce à notre sens à juste titre, on peut imaginer que lorsque le corps social l’aura intégré dans sa réflexion, la cryptologie risque de voir son usage dramatiquement progresser.
C’est d’autant plus vrai que l’article 38 dispense les fournisseurs de la notification, lorsqu’ils avaient pris des mesures de protection appropriées afin de rendre les données incompréhensibles à toute personne non autorisée à y avoir accès.
"

Il est important de souligner quand une initiative en la matière est bonne et celle-là en fait partie.

Source : http://blog.iteanu.com/index.php